Nous avons des objectifs pour nous et pour nos proches. Le plus souvent, quand les choses ne se passent pas conformément à nos attentes, nous résistons.

Je pensais être libéré de la tyrannie du « je veux » concernant les études de mes enfants et pourtant…

Pour leur bien, je souhaite que mes jeunes adolescents réussissent leurs études, et je leur mets une forte pression : « As-tu fais tes devoirs ? », « Qu’est-ce qui te reste à faire ? », « Quand a lieu ton prochain contrôle ? », « Fais tes devoirs, sinon tu n’iras pas voir tes copains »…

Cela ne crée aucune dynamique positive. Au contraire, j’ai l’impression que mes enfants travaillent de moins en moins.

Je prends donc la décision de lâcher prise, d’arrêter de leur mettre la pression, et je souhaite simplement le meilleur pour eux (qui ne correspond pas nécessairement au meilleur pour moi…). Cela a pour effet immédiat d’améliorer l’ambiance familiale et de me rendre beaucoup plus léger

Et vous, parvenez-vous à souhaiter le meilleur pour l’autre ?

Je vous souhaite une agréable journée,
Ludovic

Être capable de trouver sa joie dans la joie de l'autre, voilà le secret du bonheur. (Bernanos)

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