En observant la nature au travail, nous pouvons remarquer qu’elle suit le chemin de non-résistance : l’arbre ne lutte pas pour pousser, il pousse ; les poissons ne résistent pas au courant, ils nagent et suivent le courant. La nature fonctionne sans effort, sans difficulté, spontanément. Quand on recherche le pouvoir et le contrôle sur les autres ou sur ses propres actions, on force les choses et on finit par s’épuiser.
Deepak Chopra, classé parmi les 100 personnalités marquantes du siècle par « Time magazine » parle du principe de « faire moins et accepter plus ». Il préconise de mettre en œuvre le précepte suivant : « Aujourd’hui, j’accepterai les personnes, les situations et les circonstances telles qu’elles se présenteront ».
Par exemple : mon vol Biarritz-Paris a deux heures de retard. Dans un premier temps, je m’énerve, je pense à tous les rendez-vous que je vais devoir décaler… Et finalement, je décide d’accepter la situation, de me détendre. Je m’installe alors confortablement au bar de l’aéroport, et je réussis à décaler facilement mes rendez-vous. Tout se déroule parfaitement bien. La situation aurait certainement été bien différente si j’étais resté tendu et nerveux.
En acceptant les choses comme elles sont, et non pas comme on voudrait qu’elles soient, l’effort n’est plus à faire : les évènements glissent naturellement.
Et vous, acceptez-vous les choses comme elles se présentent ?
Bonne journée,
Ludovic
L’angoisse, la peur, ma volonté d’être toujours au top faisaient que je refusai les événements que je n’avais pas choisi, les rencontres.
Depuis que ma vie à basculer, que je me suis retrouvée seule à repartir de zéro, j’ai réfléchi avec l’aide d’une personne bienveillante, j’ai analysé pour comprendre ce qui ne fonctionnait pas depuis tant d’année. Et j’ai entre autre compris combien il était important de ne pas perdre son énergie à lutter contre des situations que nous n’avions pas choisies. C’était ainsi, il fallait accepter. Et bien sûr, que les choses se passent beaucoup mieux quand on a compris cela. On arrive à gérer sereinement et on trouve les solutions, les attitudes à adopter pour que la journée se déroule sereinement. il faut de la patience car on ne change pas notre façon d’agir du jour au lendemain, mais le fait d’en prendre conscience nous conduit à comprendre et à changer.
Bravo Régine pour cette prise de conscience. Effectivement, on se transforme un jour après l’autre en gardant de manière inflexible notre volonté de changement.
Je considère la nature comme un véritable maître qui sait parfaitement où nous diriger.
La nature c’est la Vie qui nous propose des rencontres, des situations, des évènements que nous considérons comme « bien ou mal » mais la nature n’a pas cette notion. Cette notion n’appartient qu’à l’humain qui se sert de son jugement, de son mental, de son ego pour donner une valeur à ce qu’il vit.
Acceptons de vivre ce que nous vivons sans entrer dans la supposition, évitons « d’aller chez l »autre « , c’est à dire de penser à sa place, de comparer …, et restons « chez nous « !
Merci Martine pour ce rappel.