J’ai eu longtemps une croyance limitante précise : j’étais persuadé que, lorsque je mettais du cœur dans un projet, celui-ci ne trouverait pas son équilibre financier. Après un travail sur moi, j’ai changé cette croyance et notre dernier projet hôtelier dans le Pays-Basque, dans lequel j’ai mis beaucoup de joie et de passion, fonctionne très bien. En changeant ma croyance, j’ai réussi à changer mon expérience.
Enfant, quand je me faisais mal, on me disait : « Tu n’as pas été sage, c’est le bon Dieu qui te punit. » Aussi, j’ai cru pendant un certain temps que, si je vivais quelque chose de désagréable, c’était que je l’avais mérité. En fait, c’était ma croyance qui créait ce sentiment !
Or, Pierre Catelin estime que « si l’on change la croyance à l’origine d’un sentiment désagréable ou d’un symptôme physique, il n’y a plus de raison que ce message persiste ou réapparaisse… Non seulement il n’y a plus de raison, mais ce n’est plus possible. Vous ne pouvez pas vivre de croyance désagréable s’il n’y a pas de croyance dystropique à la base. Nous ne sommes pas les esclaves de nos émotions et la maladie n’est pas une fatalité« .
Et vous, avez-vous identifié vos croyances limitantes ?
Je vous souhaite une bonne journée et un bon week-end,
Ludovic
Comme c’est vrai… merci cher Ludovic !!! Bises à Valérie ! Il faudra que je passe vous voir!!!!
Avec plaisir Patricia.
A très bientôt