Je me suis rendu compte que les intentions que nous prêtons aux autres ne se fondent pas sur ce qu’ils ont réellement fait ou dit, mais sur ce que nous supposons qu’ils ont voulu faire ou dire.
Par exemple, si nous voyons des collègues de travail chuchoter entre eux, nous avons tendance à nous dire : « ils sont en train de critiquer… » ; ou si un autre collègue ne répond pas à notre appel : « il est fâché contre moi ». Mais fonctionner ainsi, ce n’est pas être dans la réalité, c’est simplement faire des suppositions négatives.
Dans ce genre de situation, l’idéal est de questionner l’autre, pour avoir une réponse directe de sa part et ainsi éviter de supposer et d’imaginer. Si ce n’est pas possible, il est préférable de prêter systématiquement une intention positive à autrui. Par exemple, pour les personnes qui font des messes basses entre eux : « ils sont en train de me préparer une belle surprise » !
Et vous, vous arrive-t-il de faire des suppositions ?
Bonne journée,
Ludovic
Un des 4 ( voir 5 pour ceux qui ont poussé un peu plus !) accords Tolteque.
Merci pour cette précision David 🙂
Bonjour Ludovic.
En restant à l’instant point, je suis consciente de mes actions. Ainsi, les hypothèses ou suppositions n’ont pas lieu d’être.
Merci pour ce partage Pascale