L’enfant ne se soucie pas des apparences : le regard de l’autre lui est indifférent. En retrouvant cette simplicité, nous arrêtons de nous soucier du qu’en-dira-t-on.
L’enfant vit simplement les choses et reste lui-même quand il exprime un besoin. Il dit ce qu’il ressent, au moment où il le ressent. En retrouvant cette spontanéité, nous exprimons nos joies et nos tristesses immédiatement. L’expression de nos peines, en particulier, évite que le ressentiment et le ressassement ne s’installent.
Et vous, avez-vous retrouvé la spontanéité du petit enfant ?
Je vous souhaite une belle journée,
Ludovic
Bonjour Ludovic.
C’est tout à fait juste : Restons dans la présence de l’oeuvre et dans l’acceptation de ce qui est.
Depuis que je pratique yoga en conscience, méditation dans le coeur et prière unie, les Consciences, considérées comme des cadeaux, émergent de la profondeur.
L’enfant est naturel, spontané et il.a cette tendance à ne pas ruminer comme nous pouvons le faire quand la réponse ne tend pas vers ce que nous aspirons. Je tends de plus en plus vers la conscience d’être, dans l’Amour, la Paix et j’apprends chaque jour durant à rester dans l’acceptation de ce qui est.
Oui Pascale, reconnectons-nous à notre enfant intérieur pour retrouver l’amour de la vie.
Oui ! Gardons une âme d’enfant !
Soyons sérieux ! Sans se prendre au sérieux…
Parfaitement Martial !