En refusant d’accepter la vie telle qu’elle se présente, je me rendais malheureux : rien n’était jamais assez bien, assez rapide, assez grand pour moi. Dans ma quête du toujours plus, j’étais incapable de célébrer ce qui était.
En lisant L’abondance véritable ? de Neale Donald Walsch, un déclic s’est produit en moi. L’auteur y explique que nous devons passer de la dépendance à la préférence dans notre manière de vivre.
Il y a certains éléments dont nous croyons avoir besoin. Neale Donald Walsch nous invite à examiner à quel point ils nous manqueraient si nous ne les obtenions pas sur le champ. Souvent, on s’aperçoit finalement que l’on s’en passe assez facilement : les dépendances deviennent des préférences.
Par exemple : lorsque je dirigeais mon groupe, j’avais un train de vie important. Une employée de maison s’occupait à plein temps de l’intendance et j’étais loin des préoccupations de la vie quotidienne : en dix ans, je n’ai pas dû aller faire les courses au supermarché plus d’une fois ou deux. Je ne m’imaginais pas pouvoir changer de style de vie sans éprouver un réel manque. Mais j’ai accepté ma nouvelle condition, en me passant notamment d’une employée de maison. Tout compte fait, j’ai fini par réellement apprécier la simplicité de cette vie nouvelle. J’ai pris conscience que je me passais très bien de ce qui me semblait pourtant indispensable.
Et vous, avez-vous des dépendances et êtes-vous prêts à vous en passer ?
Je vous souhaite une belle journée et un bon week-end,
Ludovic
La Dépendance, est un mot qui nous rend malheureux car nous manquons, et bien d’autres émotions vont s’activer d’une manière à ne pas trouver la Paix en ce moment là.
La dépendance est un mot que j’apprends à m’en défaire en priant pour éliminer de notre pensée de toute limitation, de toute crainte de manque, de toute dépendance et de tout attachement.
En réalité en se détachant de toutes dépendances, nous apercevons que tout ce passe naturellement, dans la Paix profonde, dans l’Acceptation, dans l’Amour et dans la Gratitude de ce que nous pouvons accomplir dans une journée.
En réalité, c’est être aussi dans la contemplation de ce que nous voyons, de ce que nous entendons, de nos actes. En bref, c’est être dans la présence de l’oeuvre à tout instant. C’est être aussi dans la profondeur de Soi pour laisser émerger ce qui doit émerger, pour éprouver la Paix.
Il est souvent difficile de se séparer de nos dépendances. En prendre pleinement conscience est déjà un premier pas vers la libération.